mercredi 12 janvier 2011

Le Quoi.

On aura beau me dire que le temps change tout, n’importe quoi voir n’importe qui, ça n’en sera pas pour autant vrai. Pour preuve, on reste dans la mouvance, dans les classics, dans tout ce qui se fait de plus décédé comme légende rapologique (voir musicale tout court?!?), et dans le bon gros parpaing de quatorze enseveli sous un amoncellement de petites pierres de musique actuelle ou passée ajoutées a l’édifice du Hip-Hop .
Combinaison mortelle de Gros-Plein-de-Notoriété et de l’Homme Méthode !





J’avais l’habitude d’avoir des sentiments pour les salopes, maintenant je balance des boucliers sur la bite,
Pour m’arrêter de cette HIV merde,
Et les negros savent qu’ils sont doux comme l’intérieur d’un gâteau Twinkie,
Jouant aux méchants , préparez vous pour ce rap tueur,
Petit Grassouillet est le plus malade, ton style est joué dehors,
Comme Arnold l’a demandé, « de quoi tu parles Willis ? »
L’enthousiasme est parti, le Franck Blanc noir,
Est là pour exciter et balancer des bites aux lesbiennes,
Les salopes je les aime sans cerveaux, les pistolets je les aime en acier inoxydable,
Je veux la putain de fortune comme la roue,
Je secoue des Gatlin jusqu'à ce que mes chargeurs soient vides,
Ne me tentes pas, tu ne veux pas baiser avec Grassouillet.


Ici je suis, je serais damné si ça c’est pas quelque merde,
Venu pour étaler les paroles comme du beurre sur de la semoule de maïs
C’est le piège mortel du tueur bas, oui je suis un avion, ninja noir,
Venant ou tu te repose, rends-toi,
Rentres dans l’anneau, tu es le premier concurrent,
T’as l’air d’avoir froid au cul, comme ton vagin en décembre,
Negro arrêtes de faire ta salope, boutonnes tes lèvres jusqu’en haut et,
De Méthode, tout ce que tu auras c’est un bottage de cul,
Hé, Je te taperais fils, tu fais tout le caquètement,
Jouant comme si ça ne pouvait pas arriver,
Tu testes et m’énerves assez pour toucher quelque-chose,
Yo, je viens de l’Ile Shaolin et je n’ai pas peur de tirer sur quelque-chose,
Donc qu’est-ce que tu veux négro, tu veux négro,
J’ai un tireur six et un cheval appelé gâchette, c’est vrai,
Quatre-vingt-quatorze , sans préservatif, tapant en bas ta bon dieu de porte,
Et ça va un petit quelque-chose comme ça.


Baise le monde , ne me demandes pas pour merde,
Et tout ce que tu veux tu dois travailler dur pour ça ,
Miel, secoue tes hanches, tu ne t’arrêtes pas,
Et négros emballez vos chargeurs, continue, salope.


Deuxième couplet, venant avec cette vielle infusion E,
Meth-feuille-à-rouler-infusée-dans-du-sirop-puis-séchée-afin-d’être-fumée-plus-tard, envoyant les négros de retour en unité de soins intensifs,
Je suis levé ami, tu peux amener ton équipe au cul pourri,
J’ai des connexions, je coincerais ces fesses comme de la glue,
Pas de questions, je vais descendre et merde,
Yo, ça devient rêche comme nique sa mère de tapis,
Les négros aiment ça, pas dans la forme physique mais dans le mental,
Je scintille et leurs cellules deviennent plus chaudes,
Je ne suis pas un gentilhomme , je suis Homme Méthode,
Bébé acceptes-le, mieux, respectes-le et,
[Assumes la position], arrêtes regardes et écoutes
Je crache sur ta tombe puis j’attrape mon Charles Dickens, salope.


Bienvenu dans mon centre, les miels le sentent loin dans leurs placenta,
Froid comme le pôle en hiver, loin de l’inventeur,
Mais j’ai cette rap merde cousue, et quand mon Mac se décharge,
J’ai une autre vidéo garantie,
Prêt à mourir, pourquoi j’agit comme ça ?
Papa Duke a quitté Maman Duke, le pédé a pris le chemin de derrière,
Donc au lieu de faire sucer ma bite jusqu’en haut à des putes,
J’ai fait des braquages car les putes sont irritantes comme le hoquet,
Excuses moi, le débit grandit juste en moi,
Comme les arbres aux branche, les falaises aux avalanches,
C’est la mante religieuse, profonde comme l’esprit de Farrakhan,
Un putain de sa mère de phénomène de rap, et plus,
[J’ai plus de pistolets et de mitraillettes que toi],
Je le rend chaud, [les négros ne restent même pas debout à côté de toi],
Négro touches moi, tu ferai mieux de me tirer trois fois dans la tête,
Ou l’enculé de sa mère est mort, tu le pensais…



Baise le monde , ne me demandes pas pour merde,
Et tout ce que tu veux tu dois travailler dur pour ça ,
Miel, secoue tes hanches, tu ne t’arrêtes pas,
Et négros emballez vos chargeurs, continue, salope,
Baise le monde , ne me demandes pas pour merde,
Et tout ce que tu veux tu dois travailler dur pour ça ,
Miel, secoue tes hanches, tu ne t’arrêtes pas,
Et négros emballez vos chargeurs, continue, salope, yeah.

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